De retour à Wellington !

Kapiti Coast.

Je l'avais dit donc je l'ai fait. Je suis allée me balader en banlieue et direction Kapiti Coast. Waikanae est mon premier arrêt. La ville, qui est surtout habitée par des personnes âgées, dispose d'un petit centre-ville où il fait bon de s'arrêter et de regarder les commerçants venus vendre leurs produits artisanaux ou naturels dans la rue principale qui est ornée de belles fontaines et statues. Je me suis rendue à la plage située à environ cinq kilomètres où, une fois arrivée, le vent me fouette le visage. Est-ce grave ? Non. J'ai vue sur Kapiti Island qui n'est accessible qu'à un nombre limité de personnes par jour et où il faut demander l'autorisation au DOC pour y accoster et donc regarder les oiseaux vivant dans ce lieu protégé (Department of Conservation). Un chemin aménagé permet de se rendre à Paraparaumu. Une fois partie, je ne m'arrête plus et je passe à travers quelques Wetlands. Je préfère cette petite ville à l'autre. Pourquoi ? je ne sais pas. Peut-être est-ce plus familial, plus convivial, un peu plus bruyant aussi... La plage y est aussi belle qu'à Waikanae et la vue sur Kapiti Island est légèrement différente mais tout aussi intéressante.

Ma dernière visite (trois jours plus tard) se termine à Paekakariki. Sa plage accueille les promeneurs et les amoureux du surf et moi qui en profite pour m'allonger et laisser divaguer mon esprit quelque part. La balade dans le Queen Elisabeth Park qui longe la côte et passe par le bush et les dunes est la grande attraction de ce village. Je m'y suis aventurée sans peur ni reproche puisque je n'y risquais rien. Et je suis rentrée en train vers Wellington où un diner mexicain m'attendait.

Zealandia.

Wellington, je n'avais pas tout vu en mars et Zealandia en fait partie. Il s'agit d'une zone naturelle et protégée en plein coeur de Wellington. La foêt, qui abrite des oiseaux endémiques, est en train d'être restaurée. Il est incroyable de voir au centre de la capitale un espace aussi grand et vert. La Nouvelle-Zélande n'en finit pas de m'étonner. Faisant le tour du lac, apercevant les oiseaux dont un curieux qui aime regarder et suivre en étant toujours sur ses gardes, je découvre les trésors cachés de la capitale. Il n'est pas facile de photographier les oiseaux mais j'en ai vu assez pour être satisfaite. Et le retour se fait en descente continue quand un dîner mexicain m'attend à nouveau.